Rouler en vélo revient jusqu’à 30 fois moins cher que l’automobile. Ses coûts d’acquisition, d’entretien et d’utilisation sont sans comparaison possible avec ceux d’une voiture.
Sur la base d’un trajet quotidien de 20 km (7 300 km/an) :
Ainsi, le vélo électrique permet d’économiser environ 880 € par an par rapport à la voiture diesel. Dès la 2ᵉ année d’utilisation, le VAE est « amorti ».
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Le vélo n’est pas seulement rentable financièrement : il économise aussi sur la santé. Selon l’OMS, chaque euro investi dans la pratique du vélo génère environ 5 € de bénéfices sanitaires (réduction des risques de maladies chroniques et cardio-vasculaires grâce à l’activité physique régulière).
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Contrairement aux véhicules motorisés, les vélos sont conçus pour durer, être réparés et même upcyclés. Des associations partout en France (comme l’Heureux Cyclage) proposent des ateliers participatifs pour entretenir ou recycler les vélos usagés.
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Le vélo n’est pas seulement une alternative aux transports motorisés : il est un investissement rentable, durable et stratégique, capable de générer des économies financières, de sauver des vies et de réduire notre empreinte carbone.
Pour les décideurs, collectivités, bailleurs et gestionnaires de copropriété, la question n’est plus « Faut-il investir dans le vélo ? » mais « Comment généraliser son adoption ?».
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